L’attention est sous-estimée dans nos sociétés. Pourtant, comme l’a affirmé l’astrophysicien Arthur Zajonc, à l’origine de nombreux rapprochements entre l’univers de la science et le bouddhisme : « Sans l’attention, on n’est rien ».

L’équilibre, le mouvement et la stabilité sont, au même titre que la respiration, des éléments clés pour développer la pleine conscience.

Le mouvement en pleine conscience est un moyen puissant pour comprendre à travers le corps, la manière dont la pleine conscience opère dans l’esprit. Que ce soit pour accueillir les différentes formes de stress ou pour se ressourcer, les mouvements en pleine conscience sont un élément central dans la pleine conscience. Sans qu’il soit besoin d’une performance quelconque.

Trouver un état d’apaisement par la pleine conscience passe par un entraînement de l’attention au corps. Le corps demeure dans le présent quand l’esprit vagabonde. Le corps est lui-même le siège de souffrances ou de cicatrice, apprendre à se relier à ces blessures a un effet résilient.